DENIS KADIMA DOIT DÉCRÉTER PUBLIQUEMENT LE GLISSEMENT DU CALENDRIER ÉLECTORAL ET SE METTRE À LA DISPOSITION DE LA JUSTICE EN RAISON DE SON INCAPACITÉ À TENIR LE CALENDRIER
DENIS KADIMA DOIT DÉCRÉTER PUBLIQUEMENT LE GLISSEMENT DU CALENDRIER ÉLECTORAL ET SE METTRE À LA DISPOSITION DE LA JUSTICE EN RAISON DE SON INCAPACITÉ À TENIR LE CALENDRIER. LA CASE SALUE LES POSITIONS DE LA MOE CENCO-ECC ET DES CANDIDATS DE L’OPPOSITION CONTRE LES GRAVISSIMES INSUFFISANCES DE LA CENI.
1. La CASE soutient inconditionnellement l’option levée par un bloc des Candidats de l’Opposition contre la démarche ténébreuse de la CENI-KADIMA et les invite, outre la saisine de la Cour de Cassation, à:
- Désavouer toute l’équipe orgueilleuse de la CENI pour ses impuretés technique, son incompétence et Haute trahison ;
- Exiger le contrôle administratif, financier et technique de l’institution CENI par la Cour des Comptes, l’Inspection Générale des Finances (IGF), l’Assemblée nationale et l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) ou un autre organisme de compétence correspondante ;
- Exiger du Gouvernement de la République le remboursement de toutes les dépenses engagées par les Candidats à tous les niveaux dans la grosse escroquerie électorale de KADIMA;
2. La CASE salue également la dernière déclaration de la MOE CENCO-ECC via Monseigneur DONATIEN NSHOLE et encourage les deux Confessions religieuses exemplaires de la République Démocratique du Congo à optimiser leur dispositif de vigilance citoyenne afin de rassurer le Peuple Congolais au sujet des pièges sophistiqués de FRAUDE ÉLECTORALE MASSIVE érigés contre la Démocratie. Les deux Églises sérieuses qui nous restent sont appelées à tourner le dos à Monsieur KADIMA et sa plaisanterie électorale.
3. Le régime de l’Union Sacrée et Monsieur DENIS KADIMA sont pénalement responsables du scandale électoral congolais du siècle et doivent être sanctionnés par l’ensemble du peuple congolais.
4. La CASE demande à Monsieur DENIS KADIMA de communiquer à la Nation ses limites professionnelles qui ne lui permettent pas d’organiser des scrutins crédibles. Cette situation consacre l’ANNULATION DU PROCESSUS ÉLECTORAL afin d’ouvrir la voie à un cycle électoral consensuel et crédible.
5. La CASE qui apprécie les options levées par les uns et les autres par rapport à ce processus empoisonné, rappelle que Monsieur DENIS KADIMA a été à la conception de la FRAUDE ÉLECTORALE longtemps avant sa désignation kimbanguistement maquillée à la tête de la CENI. Le choix de touristes politiques en lieu et place des représentants de l’opposition en qualité de membres de la CENI n’a été que l’une des étapes du PLAN DE DÉTOURNEMENT DE LA VÉRITÉ DES URNES par le régime TSHISEKEDI.
6. Le temps du dialogue ayant largement expiré, la CASE INVITE LE PRÉSIDENT DU SÉNAT À PRÉPARER UNE SOUDURE CONSTITUTIONNELLE DE FIN MANDAT et à organiser une concertation politique SANS FÉLIX TSHISEKEDI afin de mettre en place des institutions de transition chargées d’organiser des élections dignes de confiance pour le peuple.
SIMARO NGONGO