EN ATTAQUANT SON PRINCIPAL CHALLENGER DANS L’OBJECTIF D’EMPÊCHER SA CAMPAGNE, LE CANDIDAT TSHISEKEDI S’AFFAIBLÎT ET S’ENTERRE POLITIQUEMENT FACE À MOÏSE KATUMBI CHAPWE.

SIGNES DE FIN DE RÉGIME POUR LE PRÉSIDENT TSHISEKEDI. EN ATTAQUANT SON PRINCIPAL CHALLENGER DANS L’OBJECTIF D’EMPÊCHER SA CAMPAGNE, LE CANDIDAT TSHISEKEDI S’AFFAIBLÎT ET S’ENTERRE POLITIQUEMENT FACE À MOÏSE KATUMBI CHAPWE.

1. En attaquant les militants du Candidat Moïse KATUMBI CHAPWE dans les différentes provinces du pays et interdisant la tenue des meetings électoraux dans des stades municipaux de Moanda notamment au profit de MOÏSE KATUMBI, le régime TSHISEKEDI se disqualifie et se désélectoralise.

2. ⁠Les images en provenance de MOANDA traduisent la très mauvaise intention du pouvoir de saboter le processus électoral et surtout de nuire à son principal adversaire politique. 
3. ⁠L’acharnement accentué contre la personne de Moïse Katumbi Chapwe est une aberration politique. Ce n’est pas la première fois que le régime TSHISEKEDI cherche à barrer la route à MOÏSE KATUMBI CHAPWE. 
4. ⁠Le régime et Tshisekedi lui-même ont accumulé de nombreux incidents contre un seul candidat de façon inacceptable. La CASE s’inquiète de constater qu’en une année Monsieur KATUMBI est l’un des candidats Président de la République à subir et à traverser les pires moments de son retour politique: insultes, coups bas, complots politiques, brimades, agression de ses collaborateurs, les arrestations arbitraires uniquement au sein de son staff politique, sans compter le blocage de ses aéronefs de campagne etc. 
5. ⁠La CASE condamne cette attitude incivique de Monsieur Félix Tshisekedi et invite le candidat KATUMBI à affronter toute situation afin de tenter sa chance de victoire. 

SIMARO NGONGO