LA CASE DÉNONCE LA CHASSE À L’HOMME GÉNÉRALISÉE CONTRE LES OFFICIERS DES FARDC ET CERTAINS LEADERS SWAHILIPHONES À KINSHASA ET AU KATANGA OÙ LES MILICES DE TSHISEKEDI TIRENT À BOUT PORTANT SUR DES CIVILS CONGOLAIS.
1. La CASE est informée de la mise à résidence surveillée du Général GABRIEL AMISI KUMBA connu sous le nom de TANGO FORT pour des motifs non élucidés. Cette pratique qui ne cible qu’une communauté linguistique spécifique trahit une intention d’épuration ethnique par le régime Tshisekedi.
2. Après avoir perdu le pouvoir à la suite des élections du 20 décembre de l’année dernière, FÉLIX TSHISEKEDI a largué ses milices de la FORCE DU PROGRÈS abusivement habillées en tenue des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) dans le Grand Katanga, à Goma et dans la ville de Kinshasa avec le mot d’ordre de tirer à balles réelles sur tout congolais qui n’admettrait pas les faux résultats fabriqués par DENIS KADIMA. À Likasi, dans le Haut-Katanga, des miliciens lourdement armés terrorisent quotidiennement les habitants en leur promettant la mort en cas de contestation de la légitimité de FÉLIX TSHISEKEDI.
3. Des vidéos montrant des miliciens remplis de haine et de violence, prêts à tuer, à assassiner, à écraser et à tout brûler sur leur passage et en position de guerre dans des centres urbains du Grand Katanga logent de balles réelles les populations innocentes, ce qui témoigne de la fin de règne de Monsieur TSHISEKEDI.
4. Depuis leur auto-proclamation présidentielle, les loups du régime TSHISEKEDI choquent l’unité nationale congolaise par leur stagnation dans le mal, l’exhibitionnisme d’un pouvoir brutalement volé au peuple, la propagande d’orgueil et leur fierté minoritaire. Tous ces faits rendent difficiles l’unité et la communion nationales.
5. Des propos irrévérencieux et insultants proférés contre des communautés non alignées par la tribu présidentielle s’intensifient. Le peuple est soumis à une toxique campagne d’intoxication cohérente dans la vision de neutralisation des tous les autres Congolais.
6. La CASE interpelle la Communauté internationale qui laisse faire cette tragédie politico-sécuritaire, de sortir de son indifférence et à porter secours au peuple congolais en proie à l’extermination de la part de Monsieur TSHISEKEDI. L’heure est grave !
SIMARO NGONGO