LES MISSIONS D’OBSERVATION ÉLECTORALE SONT ACCUSÉES D’AVOIR ÉTÉ HUMECTÉES PAR LE RÉGIME TSHISEKEDI POUR MAQUILLER LES FRAUDES MASSIVES SUR LES RÉSULTATS DES ÉLECTIONS.
LES MISSIONS D’OBSERVATION ÉLECTORALE SONT ACCUSÉES D’AVOIR ÉTÉ HUMECTÉES PAR LE RÉGIME TSHISEKEDI POUR MAQUILLER LES FRAUDES MASSIVES SUR LES RÉSULTATS DES ÉLECTIONS.
DES INDICES DE SÉDUCTION SOUDOYEUSE RAPPORTÉS METTENT EN MAL LA CRÉDIBILITÉ DE TOUTES LES MISSIONS.
LA CASE DONNE UNE LISTE INDICATIVE DES COMPLICES DE LA FRAUDE.
- La fraude électorale sophistiquée mise en place par Monsieur FÉLIX TSHISEKEDI a pris ses racines lors de la réforme électorale, longtemps avant la désignation des animateurs de la CENI. C’est à cette époque que Monsieur KADIMA a lancé l’idée d’un financement conséquent pour les missions d’observation qui travailleraient dans l’accompagnement de la fraude électorale.
- Le refus de l’audit du fichier électoral de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) par la CENI était un stratagème pour échapper à la vigilance des experts techniques les plus aguerris dans le suivi de gestion des processus électoraux.
- Plusieurs Missions internationales d’observation furent négociées, sollicitées, financées et encadrées pendant que plusieurs leaders de la Société Civile en RDC avaient été recrutés pour constituer DES MISSIONS D’OBSERVATION DE SOUTIEN À LA FRAUDE ÉLECTORALE.
- Des missions d’observation autorisées lors des dernières élections par le régime TSHISEKEDI sont soupçonnées d’avoir fait partie du complot de la FRAUDE ÉLECTORALE.
LES MISSIONS INTERNATIONALES POINTÉES DU DOIGT SONT LES SUIVANTES:
1. La MOE UE réduite à une Mission d’Experts Électoraux (MEE). Cette mission est accusée de passivité. Même après l’assassinat de son expert, la Présidente de la Commission Européenne n’a fait aucune déclaration publique sur le décès de Laurent Delvaux, un expert belge en informatique;
2. Les missions d'observation électorale de la SADC composées de 71 personnes, n’a pas dénoncé les fraudes électorales en RDC.
3. La Mission d’observation électorale de l’Union Africaine (UA) dont la déclaration du 22 décembre n’a aucunement stigmatisé les fraudes électorales massivement constatées;
4. Les missions d'observation électorale de la diaspora africaine en Europe et le groupe Agir Europe Afrique se sont contentées de présenter un rapport flatteur remis successivement à la CENI, à la Cour Constitutionnelle et à certains membres du gouvernement.
5. La mission internationale d’observation électorale (MIOE) du CENTRE CARTER. Cette mission n’a pas également dénoncé les fraudes électorales en RDC.
LES MISSIONS NATIONALES CITÉES DANS LA COMPLICITÉ DES FRAUDES ÉLECTORALES SONT :
1. La Mission d’observation électorale citoyenne (MOE-C) constituée d’un parterre d’organisations de la Société Civile à la solde de la CENI et du parti présidentiel (UDPS);
2. La MOE CENCO-ECC accusée d’entretenir un flou artistique autour de son observation et même de chercher à céder aux pressions du régime Tshisekedi;
3. La Mission d’observation électorale de la Synergie des missions d’observation citoyenne des élections (MOE-SYMOCEL) dont les recommandations, bien que pertinentes, n’ont pas pris au sérieux l’étendue des fraudes électorales en RDC;
4. La Mission d’observation du Réseau d’Observation des Confessions religieuses (MOE-ROC), aphone sur les graves tricheries électorales;
5. La Mission d’Observation Electorale de l’Eglise du Réveil du Congo (MOE-ERC) dont le rapport publié ce vendredi 22 décembre à Kinshasa, s’est fait complice des fraudes électorales.
6. La MOE du Conseil National de la Jeunesse (MOE-CNJ) qui s’est permis de féliciter Félix Tshisekedi, candidat dont la tricherie est encore palpable à tous les niveaux des scrutins.
La CASE condamne ce lourd complot international contre le peuple congolais et invite chacune des missions à livrer enfin la version réelle de leurs constatations de terrain.